lundi 21 mai 2012

Les petits promoteurs serrent les rangs


Alors que le ministère prépare une esquisse générale sur la réglementation de la maitrise d’ouvrage, les petits promoteurs réclament un cadre juridique pour s’armer contre l’informel et l’amateurisme.
Les petits promoteurs immobiliers se mobilisent. Leur union nationale revendique la réglementation de l’activité. « Ce qui tient à cœur aux professionnels, c’est la définition du petit promoteur immobilier. Car nous constatons que beaucoup de personnes font de ce métier une activité accessoire », déclare Ahmed Bouhmid, président de l’Union nationale des petits promoteurs immobiliers (UNPPI). Cette définition implique une autre revendication, la carte professionnelle, « Toute cette démarche vise à protéger le métier contre l’amateurisme. Ce qui devrait lui permettre de gagner en  maturité et en qualité. Après tout , c’est la vie des gens qui est en jeu »,note un membre de l’UNPPI. Ce qui passera, selon la profession, par une classification du métier.
« Dans la loi de finances, il y a une définition des PME. Celles-ci se reconnaissent à un CA de 3 millions de DH par an .le petit promoteur immobilier peut aller jusqu’à20 millions de DH par an, mais il reste toujours petit », déplore mohamed dahbi de l’UGEP (union générale des entreprises et des professions).le petit promoteur est celui qui fait , en moyenne 25% du chiffre d’affaires d’un grand groupe immobilier. « Ces chantiers sont ouverts .nous préparons une esquisse d’une réglementation générale sur la maitrise d’ouvrage dont font partie les petits promoteurs immobiliers », affirme Hind Ben Nezha, responsable de la promotion immobilière au ministère de l’Habitat.
Si les petits promoteurs revendiquent une réglementation de leur métier, c’est pour avoir une existence formelle qui leur ouvrira la voie à tous les opérateurs publics immobiliers, estime-t-on auprès de la profession .l’autre objectif est de se prémunir contre la concurrence de l’informel et de « l’hégémonie  de la grande promotion qui s’adjuge le meilleur »,espère un petit promoteur. A en croire le ministère, il n’y aucun discrimination entre grands et petits promoteurs .les pouvoirs publics sont obligés de procéder par une mise en concurrence, car ils ont le souci de la qualité et de la fiabilité du produit. « Si le nombre minimum d’unité de logement social a été réduit de 3500 sur 5 ans à 500/an afin d’accéder aux exonérations fiscales, c’est bien pour associer les petits promoteurs »se défond un responsable à la direction du logement social au ministère de l’Habitat .Et d’ajouter, « nous avons aussi augmenté le prix de vente à 250000 DH en plus de la subvention de 40000 DH , rien que pour encourager les professionnels à s’y mettre ».Le tout dans le cadre d’un cahier des charges révisé fin 2011 et spécifiant les prescriptions minimales.  « Le promoteur peut aller au-delà. Nous avons visité des chantiers de logement social disponible d’ascenseurs et de pré-installations de chauffe-eau solaires ».Pour placer encore plus haut la barre de la qualité , le ministère  mène une réflexion en vue de mettre en place des feuilles de routes adaptées à chaque type de projet en fonction de la zone, de l’emplacement et de sa consistance .

Source: Éco plus

vendredi 13 avril 2012

Benabdallah lance le «locatif social»

Il était temps ! Afin d’apporter une réponse concrète à l’épineux problème du logement pour les ménages modestes, le nouveau ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Politique de la ville, Nabil Benabdallah, lance la formule du « locatif social »…
Ce programme, inspiré du modèle HLM (Habitation à Loyer Modéré), mettra les organismes bancaires et les compagnies d’assurance en première ligne; celles-ci devront en effet acquérir des biens auprès des promoteurs pour présenter une offre locative dans des proportions importantes, l’objectif étant d’enrayer la spéculation immobilière et de soulager les ménages à faible revenu. Un concept basé donc sur le « gagnant-gagnant » : les institutions financières pourront développer un nouveau portefeuille d’activités et les bénéficiaires accéder à des logements en rapport avec leurs ressources. Se battant sur tous les fronts pour instaurer un logement décent pour tous, le gouvernement entend à l’horizon 2016 réduire de moitié le déficit en logements sociaux (soit environ 350 000) et ramener le contingent d’habitats sous-équipés de 242 500 unités aujourd’hui à près de 50 000. Autant de bonnes résolutions qui devraient endiguer la vision à court terme des propriétaires de biens immobilier au maroc et autres promoteurs une loi est à ce propos en gestation, et répondre ainsi à une pression sociale, en la matière hautement légitime.

jeudi 5 avril 2012

Le gouvernement veut mobiliser 20.000 ha de terrains publics

C’est en réponse au problème de foncier soulevé par les entrepreneurs immobiliers d’une part et au développement des politiques d’éradication des habitats insalubres par la mise à la disposition des ménages des logements sociaux d’autre part, que le gouvernement marocain entend poursuivre la mobilisation des terrains publics. La dernière proposition en date est celle émise par le ministre de l'Habitat, de l'urbanisme et de la politique de la ville, Nabil Benabdellah qui envisage la mobilisation de 20000 ha du domaine privé de l'état sur les cinq prochaines années, précisant  d’ailleurs au groupe istiqlalien de l'unité et de l'égalitarisme à la Chambre des conseillers, que cette démarche s'inscrit dans le cadre d'une vision prospective prenant en considération le déficit actuel et les besoins prévus en habitat pour l'ensemble des catégories sociales. Par ailleurs, le bilan des précédentes actions de ce ministère sur la question relève  que près de 8.832 ha du domaine privé de l'état ont été mobilisés à ce jour, ajouté à cela une récupération de 2466 ha de terres collectives.
   De même, le ministère par cette action veille à l'accompagnement de l'action du groupe d'aménagement Al Omrane en ce qui concerne les procédures d'acquisition des terrains publics, et au suivi et l'évaluation des constructions et de la gestion du capital foncier mobilisé, a-t-il poursuivi.
source: www.aufaitmaroc.com

jeudi 8 mars 2012

Settat accueille le premier projet de Yasmine Immobilier


C’est dans le cadre de la réalisation d’un total de 55.000 logements sociaux programmés dans la région Chaouia-Ouardigha, que la société Yasmine Orfèvre immobilier entend diversifier son offre immobilière en s’attaquant également au segment logement social et ce au regard  des mesures incitatives  mises en place par le gouvernement pour la période 2010-2020 (exonération de taxes et d’impôts) en faveur d’une relance de l’économie .Il s’agit en l’occurrence  d’un projet de 1.250 unités dont le prix  est plafonné à 250.000 HT, qui est en cours de mise en chantier à Settat. Ce dernier est commercialisé sous le label Kenzi, qui représente 30 % des activités du Groupe Yasmine Immobilier.
  La première tranche du projet Kenzi de Settat (550 appartements sociaux), qui est déjà en cours d’achèvement, est commercialisée à hauteur de 50 %. La livraison de ces premiers logements est prévue en juin 2012. Par ailleurs, une extension de 700 autres appartements est prévue dans un 2e temps, selon le Directeur général du Groupe. Au total, 6.000 unités sont prévues sur une période de 5 ans et seront réparties sur quatre villes : Settat, Deroua, Berkane et Oujda. Notons à ce titre que le 2e projet immobilier a Oujda qui compte 500 logements sera livré fin 2012 tandis que des extensions de 3.500 logements seront planifiées en 2013. D’autres projets sont en cours de lancement en 2012, notamment à Berkane pour 300 logements (en attente du plan d’aménagement) et Deroua avec 500 logements (en attente de dérogation).
  Initialement spécialisé dans la construction de l’immobilier de  haut standing  depuis 20 ans, la diversification de Yasmine  aux logements sociaux entrainera sans nul doute  laisse  un  regain de qualité dans le segment au profit des clients.
source: www.lematin.ma


lundi 5 mars 2012

Faut-il opter pour le taux fixe ou le taux variable ?


Entre le taux variable et le taux fixe, que choisir pour contracter un crédit habitat ? Le taux choisi détermine la charge financière que l’emprunteur devra supporter à travers le montant des intérêts à payer. Le taux fixe est déterminé à un instant «T» et assure à l’emprunteur une mensualité identique sur toute la durée du crédit. Il maîtrise donc tous les paramètres (durée, taux et coût total). Et il n’est pas exposé aux évolutions des taux d’intérêt sur les marchés financiers.
Le taux variable varie, lui, en fonction de la conjoncture économique et des conditions monétaires. Plus bas que le taux fixe, il permet de profiter des baisses des taux surtout dans le contexte actuel où la concurrence entre les banques est accrue.

mardi 21 février 2012

Les défenses de la CGI face aux acheteurs insatisfaits du projet Casa Green Town


Une association qui dispose de 25% du projet Casa Green Town dans la région de Bouskoura constate que certains critères non pas été respectés. Les essentiels touchent les délais de livraison et le décalage de concrétisation des équipements de base.
En effet, la compagnie générale immobilière se trouve dans un état critique  car les acquéreurs ripostent sur la non-conformité des actions face aux principes préalablement établis. Le dénommé Al Madina Al Khadra possède les 25 % du projet Casa Green Town. Il pense qu’il n’est pas considéré par la CGI. De ce fait, il a pris des mesures qui lui semblent correctes tout en faisant appel à la justice. Ainsi, une ordonnance interpellative a été présentée au juge. Son but est d’obtenir des réponses pour les questions venant des membres de l’association.
De son côté, la compagnie générale immobilière se défend tout en assurant en premier lieu d’avoir mis en action toute une somme de 644million DH afin de concrétiser les équipements de base. De plus, elle expose ses arguments et déclare que leur livraison se fera vers le quatrième trimestre de l’année 2011. Cependant, un décalage a eu lieu faute de quelques imprévues. Toutefois, pour se remettre sur pied, le Directeur de la compagnie appelé Ali Ghannam a déclaré que la compagnie garantit la réalisation de 140 villas sur le bord de route de Sidi Massoud pour le mois de mars prochain.
En vue de regagner la confiance de l’association, la CGI prend un engagement et précise que la livraison d’une centaine de villas se fera tous les trimestres. L’objectif à atteindre est la réalisation de 450 villas jusqu’à la fin de l’année 2012. Ainsi, les deux parties pensent présenter leurs mobiles pour l’aboutissement de leur projet.

lundi 20 février 2012

L’opération Bab Fès dirigée par le Roi


Une nouvelle opération nommée Bab fes a été déclarée par le Roi Mohammed VI. À vrai dire, plus de 300 logements sociaux vont être construit d’ici peu. Ceci est un avantage pour les habitants de classe moyenne et les travailleurs ayant un revenu assez faible.
Le projet demande en effet, une somme de 76 millions DH. Son partenaire est à la fois public et privé. La construction se réalisera sur un terrain mesurant 12697 m2. Pour plus de détail, 10 immeubles seront bâtis avec un groupe scolaire, des bureaux de syndicats, un terrain de foot, un parking et des espaces verts.
L’échéance de cette construction est prévue pour le mois de septembre 2013. Avec l’association d’Al Omrane et Golden Road ;  les ménages et les classes moyennes ont une forte chance d’avoir de bonnes conditions de vie avec des avantages bien meilleurs que dans le passé. Sa majesté le Roi participe dans ce cas à la réduction des conditions d’habitat médiocre. Il veut toujours s’informer sur l’avancement du projet pour qu’enfin les habitants vivent convenablement.
Aussi, des travaux d’aménagement sont aussi réalisés sur les villas économiques. En effet, les premiers bénéficiaires d’un projet « Résidence Riad » ont obtenu des titres de propriété venant du Roi sur ces villas économiques. Ce projet est caractérisé par la construction d’une centaine de villas économiques qui s’étale sur les 5.5 hectares. Le projet se concrétisera donc dans les 20 mois. Ainsi le pôle urbain Saiss sera une nouvelle destination attrayante et idéale pour vivre.

jeudi 16 février 2012

Initialisation du projet Park Hyatt Marrakech


Le projet Park Hyatt Marrakech est sur le point de se réaliser. C’est une nouvelle marque hôtelière de haut standing international. Les réalisateurs de ce projet sont l’investisseur ALHIF et le CBRE, une organisation de grande envergure dans le domaine immobilier.
Le projet se fera juste à proximité de Médina et de l’aéroport international. Cette villa Marrakech comporte environ 130 chambres de diverses catégories (chambres standards, chambres doubles, suites, etc.)
Une ligne de 44 villas est aussi présente dans ce Park. Ces villas sont toutes bien sécurisées et se situant dans une enceinte privée. Comme équipement, ces villas disposent de jardin magnifique, une piscine privative, le solarium associé au jacuzzi. Pour couronner le tout, une belle vue imprenable s’offre aux clients pour le plaisir des yeux.
Concernant les activités disponibles pour cette destination, les clients peuvent bénéficier de parcours à 18 trous signés Kyle Philips et l’Atlas. Pour le cas des villas « Limited Edition » des offres spéciales sont précisées. Des équipements tels, le média room, la bibliothèque et la salle de fitness sont à la disposition des bienvenus.
Alors, pour les voyageurs qui optent pour des séjours de relaxation, de découverte ou encore touristique, le Park Hyatt Marrakech s’offre à ces visiteurs. C’est également une idée géniale d’y vivre pour mieux connaître les opportunités à saisir.
Ainsi, grâce aux œuvres de deux New-Yorkais, Perkins et Eastman sans oublier Imaad Rahmouni, le luxe et l’élégance des villas s’offrent aux propriétaires.

jeudi 9 février 2012

Maroc : Grosses décrues dans le segment de l’immobilier de luxe à Marrakech


D’après les opérateurs immobiliers à Marrakech, les prix des biens immobiliers haut de gamme a baissé d’environ 40%. C’est une grande opportunité pour les marrakchis d’en avoir.
Actuellement, les professionnels de la vente d’immobilier à Marrakech se plaignent de la régression de leurs chiffres d’affaire. Cela est du à la surabondance de la construction de nouveaux bâtiments féériques alors que la demande est en baisse. En effet, la vente de villas et d’appartements à Marrakech  s’effritent puisque selon certains promoteurs immobiliers, il y a une chute de prix d’environ 40%. Ce prix actuel est très loin de celui des années 2006 et 2007, c’était à cette époque que le prix de l’immobilier était à son apogée. Durant ces années, c’étaient les Européens qui achetaient et investissaient dans le secteur immobilier. Actuellement, ils ne sont plus qu’une poignée d’investisseurs européens qui s’aventurent sur le marché de l’immobilier faute de la crise financière en Europe.
Pour pouvoir survivre, les opérateurs immobiliers tournent vers la clientèle venant des pays orientaux et les millionnaires africains. D’après un professionnel de l’immobilier, la clientèle africaine est apparue dans les deux dernières années suite aux crises politiques en Afrique. Ils ont boosté un peu le commerce de l’immobilier de  lux a Marrakech. Vis-à-vis de cette situation, la construction de logements sociaux peut être reconsidérée d’une manière afin de renflouer les manques à gagner des entrepreneurs immobiliers. Ils ont l’obligation de construire annuellement 10 000 logements sociaux, même si les bénéfices ne sont pas colossaux. Malgré tout, les professionnels n’ont pas pu atteindre les résultats fixés. C’est le cas du projet Tamansourt qui a totalement dégénéré.


mardi 10 janvier 2012

Le centre-ville de Casablanca en vogue

Face aux prix exorbitants du mètre carré dans certains quartiers, de plus en plus de personnes se tournent vers le centre-ville, très recherché pour son architecture ancienne et ses appartements Art déco.

Le centre-ville est l’un des quartiers historiques les plus riches sur le plan architectural à Casablanca. Il rassemble les plus beaux immeubles de la ville, construits pour la plupart dans les années 1920, 30 et 40. Des appartements anciens avec terrasse, cheminée et parquet, comportant de jolies moulures sur la façade et de très beaux volumes à l’intérieur, souvent agrémentés d’entrées en zélliges anciens, d’escaliers en marbre, boîtes aux lettres en bois ciré et de plafonniers en pâte de verre, derrière de lourdes portes en fer forgé ciselé.

     Lire la suite : Le Soir                                

jeudi 5 janvier 2012

Avis au Clients

Titres Fonciers Disponibles.

Le Groupe Al Omrane a le plaisir d’annoncer à sa clientèle que les titres fonciers des projets listés ci-dessous sont disponibles.
Les clients ayant acquis un produit dans ces projets sont priés de s’adresser aux agences du Groupe Al Omrane pour compléter les formalités de vente.
Divers avantages sont offerts pour toute concrétisation avant le 30 novembre 2011. Les prix ne pourront être maintenus que jusqu’à cette date. Passé ce délai, ils seront révisés à la hausse, et la réalisation de l’achat ne saurait être garantie.

Agadir : HAUT FOUNTY Lotissement, MSGUINA construction Drarga, RIAD FOUNTY Tr1 & Tr2.
Ain El Aouda OULED ZAIR Tr3.
Ait Ourir FARAH Tr 2 Azilal : AL WAHDA.
Azrou ENNAKHIL Tr2, Tr3 & Tr4, ASSANOUBAR.
Beni Mellal : ENNOUR Tr3.
Berkane BORJ OUAOULOUT.
Casablanca YACOUT Aïn Sebaa.
Fès INBIAAT Tr 2, AL JINANE Tr 1 & Tr 2, VILLA RYAD
Jorf Al Melha MJAARA Tr1, Tr2 & Tr3.
Kénitra BIR RAMI Tr1, Tr2 & Tr3, IRRECHAD EXTENSION.
Khemisset HAUT FOUNTY Lotissement, MSGUINA construction Drarga, RIAD FOUNTY Tr1 & Tr2.
Marrakech CHEFCHAOUEN, DOHA FORUM Tr1 & Tr2, BANAFSAJ, JACARANDA,MESKELIL, AZHAR VILLAS
Mechraa Belksiri OUED SEBOU Tr1 
Meknès BELMILOUDI Tr1 zone A & B 
Selouane SELOUANE Tr1, Tr2 & Tr3
Tamensourt RIAD TAMANSOURT, RIAD TENSIFT, KSOUR AL HAMRA Tr1
Tamesna ERRAYAHINE, AMAL Tr1, LES CAMELIAS
Tanger AL ASSIL (AAZIB Abaqiw), RIYAD AL ANDALOUS
Taourirt ERRAYAHINE, AMAL Tr1, LES CAMELIAS
Tétouan RIAD SOUANI Tiflet: DALIA


 La Vie Eco