En traitent de l’actualité su secteur immobilier, on se retrouve face à plusieurs paradoxes. En effet, alors que depuis 2008 la promotion immobilière s’enlise un peu partout dans le monde, ici la profession semblait résister al conjoncture défavorable qui a sévi ces trois dernières années.
Certes, les banques avaient serré la vis en matière de financement de la promotion immobilière, compte tenu des risques que le secteur a commencé à présenter, sachant que leurs consœurs étrangères s’étaient dangereusement exposer sur l’immobilier. Mais contrairement a nombreux pays développés, le Maroc semble suivre l’exemple d’autres contrées émergentes en bâtissant tous azimuts, le pays ressemblait en effet à un immense chantier, et les acquéreurs répondaient à l’appel. Malgré les sempiternels problèmes les opérateurs érigeaient moult projets. L’état s’efforçait d’encourager cet essor.
Aujourd’hui, alors que le pays développés s’apprête à entrer en récession, l’économie national devrait réaliser un taux de croissance supérieure à 4%. A en croix certains spécialistes, la crise qui avait pointé son nez en début d’année serait révolue et les indicateur sectoriel sont au vert. Or, d’autres acteurs se montrent carrément moins optimiste et relativement cette apparente embellie. Pour ces dernier, peu importe que les crédits immobiliers aient progressé de 11,7% à fin septembre.
Ce réalisme paradoxal est en fait un pragmatisme de situation. En effet, en la matière, il est sans doute judicieux de raisonner au cas par cas plutôt que de manière globale. De la sorte, la réalité sera surement d’un autre ordre. Plutôt que d’êtres orientée par la dictature des chiffres, elle laissera apparaître son vrai visage. De la sorte, les situations seront dissemblables dans telle ou telle clientèle, qu’il s’agisse de résidence principale ou secondaire.
Ces pourquoi la vie éco a privilégié une approche concrète en ciblant des projets précis, tout en ayant conscience que cette démarche ne peux pas être exhaustive. Néanmoins, elle a le mérite d’offrir une expérience de terrain plutôt qu’une kyrielle de données. Car comme chacun le sait, en matières de statistiques on peut pratiquer de la gymnastique et faire dire au chiffres ce que l’on désire ! C’est d’ailleurs très révélateur de notre époque poste-moderne, essentiellement prédominer par le règne du quantitatif au détriment du qualitatif. Dans cet constater combien après s’êtres lancés dans des projets de haute standing (avant la crise de 2008), plusieurs promoteurs on changé leur fusil d’épaule en investissant dans l’habitat social, puisque ce dernier offrait des mesures incitatif. Avec un déficit de prés de 700 000 logement, sachant que 140 000 unités seulement sont en chantier à fin septembre, c’est l’euphorie jusqu’en… 2020 ! Il n’en va pas de même pour le moyen standing car il s’agit la du segment le plus épineux, malgré une forte demande, quand au résidentiel haut de gamme, les projets enclenchés suivent leur cours sans pour autant que d’autres (aussi pharaoniques) émergent.
Sans vouloir schématiser, disons que nombreux sont les promoteurs qui investissent là ou l’opportunité du gain est sûre. D’ailleurs, l’un d’entre eux nous avouait qu’en France, rare étaient ses confrères qui pouvaient escompter marger au delà de 6 % … alors qu’ici l’operateur ne tentera guère le coup si son bénéfice n’oscille pas entre 15 et 25 %, du montant total du prix de vente. De surcroit, on a de plus en plus tendance à privilégier la quantité à la qualité, au risque de construire des cités ou les qualités humaines, urbanistiques et environnementale seront délaissées (rentabilité oblige). Néanmoins, à travers les cas précis que cette édition spéciale met en exergue, la vie éco a tenu à démontrer que sous les cieux marocains tout était possible, tant que les potentialités existe et que les forces vives débord d’enthousiasme .malgré un climat général morose, la promotion immobilières évolue vers un horizon dénué (pour l’instant) de nuages
Certes, les banques avaient serré la vis en matière de financement de la promotion immobilière, compte tenu des risques que le secteur a commencé à présenter, sachant que leurs consœurs étrangères s’étaient dangereusement exposer sur l’immobilier. Mais contrairement a nombreux pays développés, le Maroc semble suivre l’exemple d’autres contrées émergentes en bâtissant tous azimuts, le pays ressemblait en effet à un immense chantier, et les acquéreurs répondaient à l’appel. Malgré les sempiternels problèmes les opérateurs érigeaient moult projets. L’état s’efforçait d’encourager cet essor.
Aujourd’hui, alors que le pays développés s’apprête à entrer en récession, l’économie national devrait réaliser un taux de croissance supérieure à 4%. A en croix certains spécialistes, la crise qui avait pointé son nez en début d’année serait révolue et les indicateur sectoriel sont au vert. Or, d’autres acteurs se montrent carrément moins optimiste et relativement cette apparente embellie. Pour ces dernier, peu importe que les crédits immobiliers aient progressé de 11,7% à fin septembre.
Ce réalisme paradoxal est en fait un pragmatisme de situation. En effet, en la matière, il est sans doute judicieux de raisonner au cas par cas plutôt que de manière globale. De la sorte, la réalité sera surement d’un autre ordre. Plutôt que d’êtres orientée par la dictature des chiffres, elle laissera apparaître son vrai visage. De la sorte, les situations seront dissemblables dans telle ou telle clientèle, qu’il s’agisse de résidence principale ou secondaire.
Ces pourquoi la vie éco a privilégié une approche concrète en ciblant des projets précis, tout en ayant conscience que cette démarche ne peux pas être exhaustive. Néanmoins, elle a le mérite d’offrir une expérience de terrain plutôt qu’une kyrielle de données. Car comme chacun le sait, en matières de statistiques on peut pratiquer de la gymnastique et faire dire au chiffres ce que l’on désire ! C’est d’ailleurs très révélateur de notre époque poste-moderne, essentiellement prédominer par le règne du quantitatif au détriment du qualitatif. Dans cet constater combien après s’êtres lancés dans des projets de haute standing (avant la crise de 2008), plusieurs promoteurs on changé leur fusil d’épaule en investissant dans l’habitat social, puisque ce dernier offrait des mesures incitatif. Avec un déficit de prés de 700 000 logement, sachant que 140 000 unités seulement sont en chantier à fin septembre, c’est l’euphorie jusqu’en… 2020 ! Il n’en va pas de même pour le moyen standing car il s’agit la du segment le plus épineux, malgré une forte demande, quand au résidentiel haut de gamme, les projets enclenchés suivent leur cours sans pour autant que d’autres (aussi pharaoniques) émergent.
Sans vouloir schématiser, disons que nombreux sont les promoteurs qui investissent là ou l’opportunité du gain est sûre. D’ailleurs, l’un d’entre eux nous avouait qu’en France, rare étaient ses confrères qui pouvaient escompter marger au delà de 6 % … alors qu’ici l’operateur ne tentera guère le coup si son bénéfice n’oscille pas entre 15 et 25 %, du montant total du prix de vente. De surcroit, on a de plus en plus tendance à privilégier la quantité à la qualité, au risque de construire des cités ou les qualités humaines, urbanistiques et environnementale seront délaissées (rentabilité oblige). Néanmoins, à travers les cas précis que cette édition spéciale met en exergue, la vie éco a tenu à démontrer que sous les cieux marocains tout était possible, tant que les potentialités existe et que les forces vives débord d’enthousiasme .malgré un climat général morose, la promotion immobilières évolue vers un horizon dénué (pour l’instant) de nuages
la vie éco
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